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L’Observatoire de la déontologie de l’information est né

L’Observatoire de la déontologie de l’information a été créé le 12 septembre 2012 lors d’une assemblée générale constitutive, sous la forme d’une association loi 1901. La présentation de l’ODI a été faite le 2 octobre 2012, dans le cadre des Assises Internationales du Journalisme à Poitiers.

L’ODI « a pour objet de contribuer, par ses réflexions, ses travaux et la communication de ceux-ci, à la prise de conscience de l’importance de la déontologie dans la collecte, la mise en forme et la diffusion de l’information au public ».

Le recensement des cas s’organisera par groupes de travail, axés sur six thèmes :

  • exactitude et véracité de l’information
  • sources  (accès à, protection des, relations avec)
  • justice et faits divers (respect du droit et de la déontologie)
  • conflits d’intérêts individuels et collectifs
  • conditions de production de l’information
  • initiatives en faveur des bonnes pratiques de l’information.

Vingt personnes physiques et morales (organisations professionnelles, entreprises de presse, organisations de la société civile) en sont les membres fondateurs. L’association est ouverte à tous.

Un bureau provisoire a été désigné par l’assemblée générale. Il est composé du président Didier Epelbaum (APCP) ; vice-présidents : Kathleen Grosset (FFAP), Christine Menzaghi (Information et Citoyenneté) ; secrétaire général : Pierre Montel (SNRL) ; secrétaire général adjoint : Michel Delberghe (USJ-CFDT) ; trésorier : Patrick Eveno (historien des médias, professeur à Paris 1) ; trésorier adjoint : Camille Dupuy (doctorante en sociologie, CNAM).

> Pour aller plus loin.

> La lettre de l’ACPC-N°20 (octobre 2012).

Pour aller plus loin :

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3 commentaires pour cet article

  1. Ping : Silence des médias sur l’Observatoire de la déontologie de l’information /  Ethique et médias

  2. Je voudrais trouver un journal qui accepte d’examiner l’obligation déontologique de réhabiliter deux grands scientifiques qui ont été vilipendés par la presse pour avoir soutenu une vérité impressionnante : la mémoire de l’eau. Jacques Benveniste et tout récemment Luc Montagnier. Je leur en propose une démonstration simple et rapide, tout en leur rappelant qu’il y a toute une industrie qui se développe sur ça, hors de France. Galilée aussi avait été vilipendé par ses opposants scientifiques de l’époque, limités aussi par les croyances de leur temps.